Les travaux d'un atelier organisé par le ministère de la santé sur la
stratégie nationale communautaire en santé et l'initiative présidentielle d'accélération d'atteinte des Objectifs du Millénaire pour le développement
We commit to achieving the MDG 2015 : The Millennium Declaration
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dimanche 5 mai 2013
samedi 27 avril 2013
Ban Ki-moon croit en la victoire sur le paludisme
« L’objectif du Millénaire consistant à arrêter et inverser la progression du paludisme se concrétise, 50 pays étant en voie de réduire d’ici à 2015 la charge de morbidité du paludisme de 75 % au moins.
mercredi 24 avril 2013
Syrie : Aujourd’hui, seules les bombes ont accès aux populations civiles
Les conditions de survie en Syrie ne cessent de se dégrader et le bilan continue de s’alourdir : plus de 70 000 morts, plus d’1 million de réfugiés, plus de 2 millions de déplacés internes.
Exécutions sommaires, populations prises en otage et bombardées, personnels soignants arrêtés, exécutés, torturés... Il n'existe pas de refuge pour se protéger. Aujourd’hui, force est de constater que seules les bombes ont accès aux civils. C‘est pourquoi, une nouvelle fois, Médecins du Monde demande l'arrêt des hostilités pour porter secours à ceux qui en ont besoin et voir l’accès de l’aide internationale facilité et renforcé.
Il y a plus d’un an, les équipes de MdM ouvraient leurs premiers programmes d’assistance aux réfugiés syriens en Jordanie, au Liban, en Turquie ensuite, puis progressivement en Syrie. Face à la dégradation de la situation et l’exode massif de réfugiés, Médecins du Monde poursuit et renforce son action afin de leur venir en aide.
En Jordanie, MdM intervient dans la ville de Ramtha et sur le camp de King Abdullah Park. Un deuxième centre de soins de santé primaire est en cours d’ouverture dans le camp de Zaatari, où vivent actuellement 130 000 réfugiés. En mars, les équipes de MdM ont réalisé plus de 7 800 consultations en Jordanie.
Témoignage : L’impossibilité de consulter un médecin sous les bombardements
« Je viens de la région de Dera’a. Quand les bombardements se sont intensifiés sur les villages, je suis tombée malade, j’avais des difficultés à respirer mais je ne pouvais pas aller voir un docteur. Beaucoup de médecins avaient déjà quitté la région et il était dangereux pour tout le monde de sortir de chez soi, pour moi comme pour un médecin. Et puis s’il y a un poste de contrôle sur le chemin, on prend toujours le risque de se faire arrêter et d’être détenu. »
Ghada, syrienne réfugiée avec sa famille dans le camp de King Abdullah Park en Jordanie
En plus du soutien matériel apporté à une association de psychologues et psychiatres syriens travaillant en Jordanie, Médecins du Monde a décidé de renforcer le volet santé mentale, en Jordanie et au Liban, en partenariat avec la délégation espagnole de MdM.
Au Liban, deux centres de santé supplémentaires sont désormais soutenus par MdM, en partenariat avec l’association libanaise Amel, en plus de ceux situés à El Ayn et El Qaa, dans la plaine de la Bekaa. Une clinique mobile est en train d’être mise en place pour permettre à ceux qui ne peuvent pas se déplacer d’accéder aux soins dans la région de Kamed el-Loz.
Depuis six mois, MdM intervient au nord de la Syrie dans le village de Qah et ses environs grâce à deux centres de santé et une clinique mobile permettant d’assurer les soins de santé primaire. En mars, près de 2 200 consultations ont été effectuées et le centre post partum, ouvert en fin d’année, accueille des femmes et leurs nouveaux nés afin de leur assurer des conditions de vie décentes. Au sud de Qah, Médecins du Monde intervient dans le camp d’Al Salam, où plus de 3 000 personnes ont trouvé refuge. MdM appuie également un centre post-opératoire et de rééducation à la frontière turco-syrienne; près de 450 patients, internes et externes, y ont été soignés en mars.
Des stocks d’urgence sont également pré-positionnés aux frontières dans l’éventualité d’un accès au territoire syrien (kits chirurgicaux, de premiers soins de santé primaires, etc).
Face à la dégradation de la situation, Médecins du Monde appelle les acteurs armés et les Etats influents à l'arrêt des hostilités pour porter secours à ceux qui en ont besoin. Empêcher l'accès aux populations est un autre crime que nous nous devons de dénoncer.
jeudi 11 avril 2013
Madagascar - Objectifs du millénaire pour le développement : seule la lutte contre le VIH/Sida serait en passe d’être atteinte
e compte à rebours est lancé, Madagascar est à la traîne. Si au niveau
mondial, la cible de réduction de moitié de la pauvreté extrême a été atteinte, à Madagascar, les perspectives de réalisation des OMD s’amenuisent avec les retards enregistrés
Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) : La RDC invitée à construire sur les tendances positives en cours
En ce qui concerne l'Education, il a été observé dans l'exécution
budgétaire 2012, une réduction de moins de 50 %, contre 20 % dans celle de la Santé, renseignent les données du ministre du Budget.
samedi 9 mars 2013
Atelier sur l'accès universel à la santé de la reproduction en Tunisie
Cet atelier, organisé avec l'appui du Fonds des Nations Unies pour la
population (Fnuap), permettra aux différents participants relevant des structures gouvernementales et associatives nationales et des organisations du système des Nations Unies de discuter de l'état des lieux de l'accès universel à la santé sexuelle
jeudi 7 mars 2013
Sénégal - Les villages du millénaire de Léona atteindront certains OMD
Dans le domaine de la santé, certains objectifs sont déjà atteints. Et
en ce qui concerne l’eau, on a constaté que l’ensemble des villages de la communauté rurale de Léona y ont accès
mardi 25 décembre 2012
Malgré les progrès enregistrés : la RDC incapable d’atteindre les OMD d’ici 2015
Il s’agit de la lutte contre l’extrême pauvreté, la faim, le VIH/SIDA,
le paludisme et l’accès à l’eau portable. Conscient des difficultés qu’éprouvent les pays affectés par des conflits à réaliser les objectifs du millénaire pour le développement
vendredi 21 décembre 2012
Vietnam : l’Etat et la régulation des services éducatifs
Cet événement réunit des spécialistes
français et près de 100 représentants des services de l’Education et dela Formation, des écoles pré-scolaires aux universités venus dedifférentes provinces et villes du pays.
Burkina Faso : Le gouvernement prépare un plan de riposte contre la méningite
L'année 2015, indique un rapport de l'OMS, est la date-butoir fixée par
les Nations unies pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement, parmi lesquels figure la réduction de la mortalité infantile .
lundi 3 décembre 2012
Côte d'ivoire - Lutte contre le SIDA / La ministre Goudou Raymonde aux activistes : ‘‘L’objectif 0 infection et 0 décès d’ici 2015 est possible’’
Tel que prescrit par les Objectifs du
millénaire pour le développement (OMD). «Le constat amer est que 23000 personnes vivant avec le Vih-Sida sont mortes en Côte d’ivoire en 2011.
mercredi 28 novembre 2012
L’État du Jonglei, épicentre de la violence au Soudan du Sud
Un rapport rendu public aujourd’hui par
Médecins Sans Frontières (MSF) met en lumière les conséquences
dévastatrices de la violence sur la vie et la santé des populations
civiles dans l’État du Jonglei, au Soudan du Sud. Parmi les victimes :
des femmes et des enfants, parfois âgés d’à peine quatre mois. Les
services de santé sont également menacés car les structures médicales
sont prises pour cibles et détruites.
Depuis de nombreuses années, l’État du
Jonglei est le théâtre de vols de bétail entre communautés. Mais depuis
2009, des attaques de plus en plus violentes ciblent les civils – des
milliers de femmes et d’enfants – habituellement pendant la saison
sèche. Depuis la mi-2012, un processus de désarmement a provoqué un
climat d’insécurité généralisée et s’est également accompagné de
violences à l’encontre des civils. De plus, les affrontements entre une
milice et les forces armées du Soudan du Sud dans l’État du Jonglei ont
aggravé la violence et causé de nouveaux déplacements au plus fort de la
saison de la paludisme.
« Des patients blessés arrivés dans nos
cliniques nous ont expliqué qu’ils avaient dû prendre la terrible
décision de choisir entre les enfants qu’ils allaient emporter dans leur
fuite et ceux qu’ils allaient abandonner », raconte Chris Lockyear,
responsable des programmes de MSF. « Nous sommes face à une situation
d’urgence : la vie et la santé de la population de l’État du Jonglei ne
tiennent qu’à un fil. L’arrivée prochaine de la saison sèche rendra les
déplacements à nouveau possibles. Nous craignons donc une nouvelle
flambée de violence, de blessures et de déplacements de populations. »
Le rapport de MSF est intitulé : South
Sudan’s hidden crisis: how violence against civilians is devastating
communities and preventing access to life saving healthcare in Jonglei
(Au Soudan du Sud, une crise loin des regards: à Jonglei, la violence
laisse les populations dévastées et privées d’accès aux soins de santé
vitaux). Le document comporte des récits déchirants de civils piégés par
des attaques dirigées contre leurs villages. A titre d’exemple, plus de
la moitié des blessés par balle traités par MSF, suite à une attaque en
janvier 2012, étaient des femmes et des enfants.
Les conséquences indirectes des violences
sont moins visibles mais tout aussi graves. Des communautés entières
ont dû fuir dans la brousse pour sauver leur vie. Sans abri, nourriture
ou eau potable, elles risquent de contracter des maladies telles que le
paludisme, la pneumonie, la malnutrition et la diarrhée.
Les services de santé ont également été
la cible d’attaques dans l’État du Jonglei. Les installations de santé
de MSF ont été détruites ou pillées dans la ville de Pieri en août 2011,
à Pibor et Lekwongole en décembre 2011, à Lekwongole en août 2012 et à
Gumuruk en septembre 2012, rendant impossible tout soin médical pour une
population déjà vulnérable. Avec six structures de santé destinées à
une population de 287.000 habitants, MSF est le seul fournisseur de
soins de qualité gratuits dans le nord et le centre de l’État du
Jonglei. De janvier 2011 à octobre 2012, MSF a soigné des centaines de
personnes blessées et dispensé plus de 227.851 consultations médicales.
« Aujourd’hui, nous révélons les
conséquences médicales de la violence que nos équipes constatent sur le
terrain », explique Chris Lockyear. « Le Jonglei est frappé par une
urgence. MSF s’engage plus que jamais à prodiguer des soins, en toute
neutralité et impartialité, mais nous craignons que les besoins médicaux
soient encore plus importants. En effet, de nombreuses personnes ne
peuvent se rendre dans nos cliniques car elles restent cachées dans la
brousse ou ont peur de se déplacer. MSF demande à tous les groupes armés
de respecter les structures médicales et humanitaires, ainsi que leur
personnel. »
vendredi 16 novembre 2012
Ensemble mobilisons nous pour les mamans africaines
Parce qu’en Afrique Subsaharienne, 200 000 mamans meurent chaque année
pendant la grossesse ou l’accouchement faute de soins basiques et de sages-femmes qualifiées à leurs côtés
mercredi 14 novembre 2012
France - 7e Journée Provençale de la Santé Humanitaire
Le droit à la santé pour TOUS
Vendredi 23 novembre 2012 - 9h - 17h30
Faculté de Médecine de Marseille (La Timone), Amphi Toga
Faculté de Médecine de Marseille (La Timone), Amphi Toga
Au programme quelques 22 conférenciers, 35 stands, 20 posters,
1 exposition photos, 1 Atelier biomédical itinérant etc.
" Quels obstacles et déterminantssocio-économiques empêchent l'accès aux soins pour Tous?"
Résumé :
Malgré les progrès de la médecine, 12 millions d’enfants meurent de
maladies qui auraient pu être prévenues ; un milliard de personnes
souffrent de famine et de malnutrition ; un milliard et demi n’ont pas
accès à une quantité suffisante d’eau potable… Combien d’autres
subissent un environnement pollué ou malsain ? Combien vivent dans des
conditions d’insécurité dues aux conflits et aux déplacements de
populations ? Combien ne disposent pas d’un travail, d’un logement, leur
permettant de vivre dignement ? Combien n’ont pas accès à une éducation
adéquate ou combien ne sont pas informées de façon suffisante pour
profiter pleinement de leurs droits ? Dans un contexte d’accroissement
des différences entre les plus pauvres et les plus riches, il n’est pas
vain de rappeler que tous les droits de la personne sont intimement
liés, influent les uns sur les autres, et que l’ensemble des facteurs
sociaux, économiques et culturels qui entourent l’être humain
déterminent aussi son état de santé. Parmi ces déterminants de la santé,
l’accès à des soins de qualité de « première ligne » demeure, plus que
jamais, un indicateur privilégié. Quelle possibilité de consulter un
médecin, une infirmière, une assistante sociale, un psychologue ou
encore d’être intégré dans un centre spécialisé pour personne handicapée
? Le centre de soins est-il suffisamment près de chez elle ? En
a-t-elle les moyens financiers ? Son statut le lui permet-il ? La
qualité de la prestation des professionnels consultés, sur les plans
technique et humain, est-elle suffisante?
Exposé par : Henri DuboisAnimée par : Christian Apothéloz
Débat avec : Didier Boeno, Catherine Corbeau, Jean-Loup Rey, Muriel Tyan, Pierre-Pascal Vandini
Vous pouvez vous inscrire gratuitement à cet évènement et consulter le programme de la journée via notre site Internet : http://www.santesud.org/
Vous pouvez aussi télécharger le dernier Santé Sud Infos intitulé
"Un meilleur accès aux soins pour les plus vulnérables".
Coopération Afrique-Japon: Des experts africains en réunion préparatoire de la TICAD V à Ouagadougou
La
TICAD intervient, entre autres, pour l'accélération de la croissance
économique, et l'atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) tels que la santé, l'agriculture, l'éducation,
mercredi 7 novembre 2012
Santé : LE FINANCEMENT DE LA VACCINATION A BESOIN D’ETRE SECURISE
Les travaux d’un atelier sur le financement durable de la vaccination au Mali ont débuté lundi au Parc national sous la présidence du représentant du ministre de la Santé, Mountaga Boré.
lundi 24 septembre 2012
Paludisme au Sahel : 65% de cas en moins grâce au traitement préventif
MSF met en
œuvre une nouvelle stratégie de traitement préventif du paludisme au
Mali et au Tchad. Les premiers résultats, qui montrent une baisse des
cas de paludisme ainsi que du nombre d’hospitalisations, sont très
encourageants.
Pour la première fois à vaste échelle et en conditions réelles, une stratégie de traitement préventif du paludisme, appelée chimioprévention
du paludisme saisonnier (CPS), a été menée par des équipes de Médecins
Sans Frontières (MSF) en collaboration avec du personnel médical local
dans deux projets pilote, au Tchad et au Mali. Des traitements
antipaludiques ont été distribués à environ 170 000 enfants âgés de 3
mois à 5 ans ; les premiers résultats sont très encourageants puisqu’une
baisse de 65% des cas de paludisme a été constatée dans le projet de
Koutiala, au sud du Mali.
« Nos équipes constatent des effets spectaculaires en termes de diminution du nombre de cas, explique le Dr. Estrella Lasry, spécialiste du paludisme à MSF. Bien sûr, il ne s’agit que des premiers retours, et nous allons continuer d'évaluer l’impact de ces stratégies de distributions ».
Pendant la période
de haute transmission de la maladie, qui dure habituellement de juillet
à octobre, les enfants ont reçu tous les mois un traitement à base d'amodiaquine et sulphadoxine / pyriméthamine (Fansidar®).
Les distributions concernent environ 161 000 enfants du district de
Koutiala, au sud-est du Mali, et 10 000 enfants de celui de Moïssala,
au Tchad. Dans les deux cas, les enfants malades, déjà atteints de
paludisme ou d’autres pathologies, sont directement traités et exclus de
la distribution.
Dans le district
de Koutiala, au Mali, les équipes MSF ont constaté une baisse de 65% des
cas de paludisme simple au cours de la semaine qui a suivi la
distribution du traitement. De même, le nombre d’hospitalisations liées à
la maladie est passé de 247 cas à 84 cas par semaine. Dans le sud du
Tchad, dans deux aires de santé à proximité de la ville de Moïssala, les résultats sont également encourageants avec une baisse oscillant entre 72% et 86% des cas de paludisme simple.
« La CPS
pourrait représenter un formidable outil de santé publique, notamment en
protégeant les enfants, parmi lesquels on compte la grande majorité des
décès. Les interventions menées au Tchad et au Mali vont également nous
permettre d’évaluer la faisabilité de ces stratégies à vaste échelle et
dans d'autres contextes », continue le Dr. Lasry.
En mars 2012, l'Organisation
mondiale de la Santé (OMS) a recommandé l'utilisation de la CPS dans
les zones de forte transmission saisonnière du paludisme au Sahel.
On
estime que 650 000 personnes (source : OMS) meurent chaque année du
paludisme. 90% de ces décès surviennent en Afrique subsaharienne, pour
la plupart chez des jeunes enfants.
Au
Mali et au Tchad, MSF mène des projets de traitement et prévention des
maladies les plus meurtrières chez les jeunes enfants. Depuis le début
de l'année, plus de 12 000 cas de paludisme ont été traités en
ambulatoire et 3 500 enfants malades et/ou sévèrement malnutris ont été
hospitalisés dans le cercle de Koutiala, dans le sud du Mali. Au Tchad, à
Moïssala, plus de 18 000 cas de paludisme ont été pris en
charge dans les structures soutenues par MSF ainsi que par des agents de
santé non-médicaux formés par MSF dans les villages.
vendredi 21 septembre 2012
Sénégal - Des concertations entamées pour des solutions aux problèmes du secteur
Le
Sénégal, à l’instar des autres pays africains, se trouve à un tournant
décisif pour l'atteinte des Objectif du millénaire pour le développement dont l'échéance a été fixée à 2015, alors même que les défis en matière de santé continuent de se poser avec acuité.
mercredi 12 septembre 2012
Plus de 2700 enfants meurent de diarrhée dans le monde,
En République démocratique du Congo (RDC), Sanjay Wijesekera indique que
le pays est classé parmi les 40 qui n’ont pas atteint l’objectif du millénaire pour le développement (OMD)
vendredi 9 mars 2012
Les femmes d'Afrique au coeur des problématiques de l'eau et de la santé
Bordeaux le 09/03/2012 (OMD 2015) - La Constitution de l’OMS affirme que « la possession du meilleur état de santé qu’il est capable d’atteindre constitue l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soient sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale ».
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