Selon Abdoulaye Sidibé Wade, malgré toutes les performances acquises dans
la réponse au VIH/Sida, il y a encore des femmes séropositives qui accouchent en transmettant le virus à leur enfant. "Cela appelle à une meilleure prise de conscience afin que ce gap soit comblé
We commit to achieving the MDG 2015 : The Millennium Declaration
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jeudi 9 mai 2013
jeudi 11 avril 2013
Madagascar - Objectifs du millénaire pour le développement : seule la lutte contre le VIH/Sida serait en passe d’être atteinte
e compte à rebours est lancé, Madagascar est à la traîne. Si au niveau
mondial, la cible de réduction de moitié de la pauvreté extrême a été atteinte, à Madagascar, les perspectives de réalisation des OMD s’amenuisent avec les retards enregistrés
lundi 3 décembre 2012
CONFÉRENCE DE PRESSE SUR LA JOURNÉE MONDIALE DE LA LUTTE CONTRE LE VIH/SIDA
M. Lindblad a annoncé quelques bonnes
nouvelles dans la lutte contre l’épidémie, alors que se rapproche la date fixée, 2015, pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). Il a tout d’abord signalé une chute de 50% de nouvelles infections dans 25 pays
Côte d'ivoire - Lutte contre le SIDA / La ministre Goudou Raymonde aux activistes : ‘‘L’objectif 0 infection et 0 décès d’ici 2015 est possible’’
Tel que prescrit par les Objectifs du
millénaire pour le développement (OMD). «Le constat amer est que 23000 personnes vivant avec le Vih-Sida sont mortes en Côte d’ivoire en 2011.
mardi 13 mars 2012
VIH, pauvreté et sécurité alimentaire dans les pays industrialisés
Bordeaux le 13/03/2012 (OMD 2015) - Un bon état nutritionnel est important lorsque l'on vit avec le
VIH. Mais de nombreuses personnes atteintes vivent dans la précarité,
voire la pauvreté, et ont du mal à se procurer l'alimentation dont elles
auraient besoin.
mardi 6 mars 2012
Lutte contre le sida: Le Renadef appelle à l’utilisation correcte des fonds disponibilisés
Bordeaux le 06/03/2012 (OMD 2015) - Un des combats auxquels se lance le Réseau national des Ong pour le
développement de la femme en République démocratique du Congo (Renadef),
est de faire en sorte que les fonds disponibilisés par les bailleurs,
soient utilisés correctement dans la lutte contre le vih/sida,
Leadership transformationnel et autonomisation des femmes vivant avec le Vih : Leaders religieux et élus locaux impliqués dans la lutte
Bordeaux le 06/03/2012 (OMD 2015) - Le choix des élus locaux et leaders religieux comme cible dans la campagne de sensibilisation trouve sa pertinence dans le fait que ces leaders d’opinion, peuvent, par leurs messages, atteindre et toucher l’ensemble des personnes que le programme cherche à atteindre dans ce travail de plaidoyer.
Lire la suite
jeudi 1 mars 2012
Combattre le VIH/sida, le paludisme et d'autres maladies
Bordeaux le 01/03/2012 (OMD 2015) - Chaque jour, près de 7 500 personnes sont infectées par le VIH et 5 500
personnes meurent du sida parce qu’elles n’ont pas eu accès à des
services de prévention et de traitement du VIH. Derrière ces chiffres
renversants se cachent cependant quelques initiatives encourageantes qui
ont permis de remporter de petites victoires dans la guerre contre le
sida.
lundi 27 février 2012
Bénin: élimination de toutes nouvelles infections au VIH chez les enfants pour 2015
Bordeaux le 27/02/2012 (OMD 2015) - Le gouvernement du Bénin, en collaboration avec l’ONUSIDA, l’UNICEF,
l’OMS et le FNUAP, a lancé la semaine dernière un programme national
visant à éliminer les nouvelles infections au VIH chez les enfants et à
améliorer l’état de santé de leurs mères
samedi 25 février 2012
Sida et mortalité : la tuberculose, principale cause de décès des patients infectés par le VIH au Maroc
Bordeaux le 25/02/2012 (OMD 2015) - Dans 35% des cas, la tuberculose est la cause du décès chez les patients
infectés par le VIH au Maroc. Renforcer le dépistage et la
chimioprophylaxie de la tuberculose parait fondamentale pour améliorer
la prise en charge de la coinfection VIH/tuberculose.
jeudi 23 février 2012
ONUSIDA - Lancement d'un programme national au Bénin pour prévenir les nouvelles infections au VIH chez les enfants
Bordeaux le 23/02/2012 (OMD 2015) - Le gouvernement de la République du Bénin, en collaboration avec
l'ONUSIDA, l'UNICEF, l'OMS, le FNUAP et leurs partenaires, ont lancé ce
jour un programme national visant à éliminer les nouvelles infections au
VIH chez les enfants et à améliorer l'état de santé de leurs mères.
mercredi 15 février 2012
Sénégal - Lutte contre le Sida à Sédhiou Sur 58 femmes dépistées séropositives, 35 mises sous prophylaxie
Bordeaux le 15/02/2012 (OMD 2015) - Pour contribuer à l’atteinte des Objectifs du
millénaire pour le développement, la région de Sédhiou fortement
affectée par la pandémie du VIH/SIDA, en partenariat avec l’ONG SWAA,
qui intervient dans la prévention de la transmission mère-enfant du VIH,
mardi 31 janvier 2012
Jean-Paul Moatti: «Il faut plus de synergies entre lutte contre le sida, amélioration des systèmes de santé et action pour le développement»
Bordeaux le 31/01/2012 (OMD 2015) - Au moment même où la palette des outils de lutte contre
l'épidémie s'élargit, les ressources mondiales disponibles dans la lutte
contre le sida baissent. Après 25 ans de progrès ! Comment repenser le
financement de la lutte contre le sida ?
lundi 30 janvier 2012
RDC - 85% des malades du SIDA privés de traitement
Bordeaux le 30/01/2012 (OMD2015) - 85% des malades du SIDA privés de traitement en RDC
Médecins Sans Frontières (MSF) s’alarme
de la situation des personnes vivant avec le VIH/SIDA en République
démocratique du Congo (RDC) et déplore le manque de priorités données
par les autorités congolaises, ainsi que le désengagement des bailleurs
de fonds, alors que le Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la
Tuberculose et le Paludisme fêtera ses 10 ans d’existence ce 28 janvier.
Les conditions d’accès aux soins des
personnes vivant avec le VIH/SIDA en RDC sont catastrophiques. Au Centre
Hospitalier de Kabinda (CHK) à Kinshasa, MSF voit arriver un nombre
bien trop élevé de malades avec des complications graves, dues à
l’absence de traitement, et dont la condition trop avancée entraîne des
souffrances inacceptables.
« J’ai travaillé dans de nombreux pays
d’Afrique centrale et australe auprès de patients séropositifs, mais ce
que je vois ici en RDC n’existe plus ailleurs depuis plusieurs années »,
affirme Anja De Weggheleire, coordinatrice médicale de MSF en RDC. « La
situation de la RDC me rappelle l’époque à laquelle aucun traitement
ARV n’était encore disponible. Nos médecins sont confrontés
quotidiennement à de graves complications qui seraient facilement
évitables avec une mise sous ARV précoce des patients ».
On estime actuellement à plus d’un
million le nombre de séropositifs en RDC et à 350 000 le nombre de
personnes qui devraient bénéficier d’un traitement antirétroviral. Or
seuls 44 000 patients sont effectivement sous traitement. Cela
représente un taux de couverture en antirétroviraux (ARV) de moins de
15%, soit l’un des plus bas au monde (tout comme la Somalie et le Soudan
pour le continent africain). La situation est critique également en
terme de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant
(PTME) : seul 1% des femmes enceintes
estimées séropositives a accès aux traitements PTME. Or sans traitement,
environ un tiers des enfants exposés naît avec le VIH.
En dépit de ces indicateurs
catastrophiques, la RDC ne bénéficie pas du degré de priorité qui
devrait être le sien auprès des bailleurs de fonds. Pire encore,
certains se retirent ou diminuent sensiblement leurs subventions, comme
le Fonds Mondial. En effet, alors que ce dernier est le principal
pourvoyeur d’ARV en RDC, les Etats qui le financent n’ont pas tenu leurs
promesses, obligeant l’institution à revoir ses ambitions à la baisse.
Or le désengagement des bailleurs met
directement en danger la vie de milliers de personnes en RDC. Anja De
Weggheleire tire la sonnette d’alarme : « si rien n’est fait, il est
fort probable que les 15 000 personnes inscrites actuellement sur une
liste d’attente et identifiées comme personnes ayant besoin d’ARV de
manière urgente seront mortes d’ici trois ans. Et ce chiffre, aussi
effrayant soit-il, ne représente que le haut de l’iceberg quand on sait
que la plupart des personnes vivant avec le VIH/SIDA en RDC ne
connaissent pas leur statut sérologique. Beaucoup mourront dans le
silence et dans l’oubli.»
Il est crucial que les autorités
congolaises respectent l’engagement qu’elles ont pris pour assurer
gratuitement les services de prévention et de prise en charge des
personnes vivant avec le VIH/SIDA. Il est tout aussi urgent que les
bailleurs de fonds mobilisent d’urgence des moyens nécessaires afin
d’assurer que les patients en attente d’ARV ne soient pas condamnés.
MSF est présente depuis plus de 30 ans en RDC et y mène des programmes contre le VIH/SIDA depuis 1996.
MSF a notamment été la première
organisation à mettre des patients gratuitement sous ARV en RDC, en
octobre 2003. Par ses programmes d’appui aux soins de santé et à travers
son projet SIDA à Kinshasa, MSF prend plus de 5 000 patients en charge
dans 6 provinces, soit plus de 10% du nombre de personnes mises sous ARV
en RDC. A Kinshasa, MSF prend en charge 20% du nombre total de patients
actuellement sous ARV dans la capitale congolaise.
MSF lance ce jour une campagne de
communication et de plaidoyer qui s’étalera sur toute l’année 2012 afin
d’alerter l’opinion publique sur la situation gravissime des personnes
vivant avec le VIH/SIDA en RDC et d’inciter les acteurs à se mobiliser
pour étendre la couverture ARV.
Relations Presse :
Barbara REHBINDER : +243 81 95 00 375
Patient LIGODI : +243 81 95 01 782
Courriel: msfocb-kinshasa-com@brussels.msf.org
dimanche 29 janvier 2012
Lutte contre la féminisation du Vih/Sida : 80 élus locaux à l’école du leadership transformationnel axé sur l’autonomisation économique des femmes
Bordeaux le 29/01/2011 (OMD 2015) - Trois mois après les parlementaires, c’était hier autour de 80 élus locaux du département de Thiès de bénéficier d’un atelier de formation sur le leadership transformationnel orienté vers l’autonomisation politique et économique des femmes vivant avec le Vih/Sida.
mardi 24 janvier 2012
Protéger les bébés contre le VIH/sida
Bordeaux le 24/01/2012 (OMD 2015) - Presque à chaque minute, un bébé naît en étant porteur du virus
du sida. Sans traitement, 50% de ces nourrissons meurent avant leur
deuxième année. L’UNICEF met tout en œuvre pour que les bébés du monde
entier bénéficient des prestations
lundi 23 janvier 2012
La stratégie mondiale du secteur de la santé sur le VIH/sida 2011-2015
Bordeaux le 23/01/2012 (OMD 2015) - Cette publication de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) décrit la
nouvelle stratégie mondiale du secteur de la santé dans la lutte contre
le VIH, avec comme objectif l’instauration d’un accès universel aux
services de prévention, de diagnostic, de traitement, de soins et de
soutien.
dimanche 25 décembre 2011
Irin news - KENYA : La stigmatisation empêche la participation aux essais cliniques sur le VIH
Bordeaux le 25/12/2011 (OMD 2015) - Une étude récente menée au Kenya montre que les personnes susceptibles
de participer à la recherche sur le VIH refusent souvent de coopérer en
tant que volontaires, par crainte d’être étiquetées comme séropositives
et stigmatisées en conséquence par leur communauté.
Menée par l’institut de recherche américain RTI International et publiée par la Bibliothèque nationale de médecine des Etats-Unis (NLM) en novembre, l’étude comprenait plus de 130 participants – les participants à l’étude actuelle et à des études précédentes, des leaders communautaires et l’équipe de recherche – sur deux centres de recherche à Nairobi.
« La famille et les membres de la communauté présument souvent que les volontaires sont séropositifs parce qu’ils participent à la recherche pour le vaccin… La stigmatisation liée au VIH est perçue comme pouvant s’étendre et mettre en danger les communautés où vivent les volontaires, ce qui explique que les volontaires redoutent d’être stigmatisés si les gens les croient séropositifs, » écrivent les auteurs dans le résumé de leur étude. « Les volontaires potentiels ont peur de se soumettre aux tests de dépistage du VIH, condition indispensable pour pouvoir participer, car cela pourrait révéler leur statut sérologique dans des communautés très sensibles à la stigmatisation liée au VIH. »
Selon Walter Jaoko, chercheur principal à l’Initiative kenyane en matière de vaccin anti-VIH (KAVI), le manque d’information concernant la recherche clinique sur le VIH est l’un des obstacles les plus importants à la participation aux recherches, qui sont pourtant essentielles pour trouver des moyens de lutter contre le virus.
« Les gens vous disent qu’ils vont être infectés par le VIH s’ils participent à l’étude ou c’est ce que d’autres leur disent » a t-il indiqué à IRIN/PlusNews. « Cela vient surtout d’un manque d’information, mais c’est vraiment un gros problème quand on veut que les gens participent volontairement aux études cliniques. C’est le cas non seulement pour le VIH, mais aussi pour beaucoup d’autres maladies. »
Protus Momanyi, habitant de Nairobi âgé de 33 ans, a expliqué que le plus gros obstacle à sa participation à la recherche sur le VIH était l’obligation du test de dépistage. « Je n’ai jamais subi un test de dépistage anti-VIH et j’ai mes propres raisons d’appréhender de devoir m’y soumettre, » a t-il dit.
Les auteurs de l’étude ont conclu qu’il était nécessaire « d’intégrer un programme visant à réduire la stigmatisation dans les activités d’éducation et de communication prévues pour les volontaires et les communautés dans lesquelles ils vivent. »
Menée par l’institut de recherche américain RTI International et publiée par la Bibliothèque nationale de médecine des Etats-Unis (NLM) en novembre, l’étude comprenait plus de 130 participants – les participants à l’étude actuelle et à des études précédentes, des leaders communautaires et l’équipe de recherche – sur deux centres de recherche à Nairobi.
« La famille et les membres de la communauté présument souvent que les volontaires sont séropositifs parce qu’ils participent à la recherche pour le vaccin… La stigmatisation liée au VIH est perçue comme pouvant s’étendre et mettre en danger les communautés où vivent les volontaires, ce qui explique que les volontaires redoutent d’être stigmatisés si les gens les croient séropositifs, » écrivent les auteurs dans le résumé de leur étude. « Les volontaires potentiels ont peur de se soumettre aux tests de dépistage du VIH, condition indispensable pour pouvoir participer, car cela pourrait révéler leur statut sérologique dans des communautés très sensibles à la stigmatisation liée au VIH. »
Selon Walter Jaoko, chercheur principal à l’Initiative kenyane en matière de vaccin anti-VIH (KAVI), le manque d’information concernant la recherche clinique sur le VIH est l’un des obstacles les plus importants à la participation aux recherches, qui sont pourtant essentielles pour trouver des moyens de lutter contre le virus.
« Les gens vous disent qu’ils vont être infectés par le VIH s’ils participent à l’étude ou c’est ce que d’autres leur disent » a t-il indiqué à IRIN/PlusNews. « Cela vient surtout d’un manque d’information, mais c’est vraiment un gros problème quand on veut que les gens participent volontairement aux études cliniques. C’est le cas non seulement pour le VIH, mais aussi pour beaucoup d’autres maladies. »
Protus Momanyi, habitant de Nairobi âgé de 33 ans, a expliqué que le plus gros obstacle à sa participation à la recherche sur le VIH était l’obligation du test de dépistage. « Je n’ai jamais subi un test de dépistage anti-VIH et j’ai mes propres raisons d’appréhender de devoir m’y soumettre, » a t-il dit.
Les auteurs de l’étude ont conclu qu’il était nécessaire « d’intégrer un programme visant à réduire la stigmatisation dans les activités d’éducation et de communication prévues pour les volontaires et les communautés dans lesquelles ils vivent. »
mardi 6 décembre 2011
RCA - Le taux d'infection du VIH passe de 6,2% à 5,9%
Bordeaux le 06/12/2011 (OMD 2015) - Les nouvelles infections ont diminué chez les femmes de 15 à 49 ans (7,8% en
2006 contre 6,3% en 2010), a ajouté le ministre, citant les données de
l'enquête à indicateurs multiples réalisée en 2010 et dont le résultat a
été présenté en octobre 2011.
dimanche 4 décembre 2011
Centrafrique - Le taux d'infection du VIH/sida passe de 6,2% à 5,9%
Bordeaux le 04/12/2011 (OMD 2015) - L'épidémie du VIH/sida a "une tendance à la stabilisation" en
centrafrique, avec le taux de prévalence passant de 6,2% de 2006 à 5,9%
en 2010, a indiqué le ministre de la Santé, de la Population et de la
Lutte contre le sida
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