vendredi 3 juin 2011

Les enfants handicapés au Niger réception d’aide alimentaire

BORDEAUX LE 03/06/2011 (omd 2015) - Les enfants handicapés au Niger réception d’aide alimentaire

L’ambassadeur américain, les responsables Niger coup d’envoi d’une année internationale de l’alimentation de secours de partenariat
 Les enfants pauvres ayant un handicap dans la capitale du Niger recevront deux repas par jour dans le cadre d’un nouveau programme d’un an pour réduire la malnutrition et de garder les enfants à l’école, l’ambassadeur des États-Unis au Niger et Counterpart International l’a annoncé aujourd’hui. (www.counterpart.org)

Financé par l’Agence américaine pour le développement international et mis en œuvre par les Etats-Unis à but non lucratif de contrepartie, chaque mois près de 1.600 personnes handicapées – la plupart des aveugles – bénéficieront de cette initiative.

Lors de la cérémonie de lancement, l’ambassadeur américain au Niger Bisa Williams a déclaré: «Cette aide alimentaire permettra certainement aux personnes handicapées de mener une vie plus active et dynamique. Ce soutien est essentiel pour éradiquer la pauvreté et à limiter les effets négatifs de la mendicité. Le gouvernement américain à travers l’USAID est fier d’appuyer cette initiative en partenariat avec le gouvernement du Niger et Counterpart International. 
L’ambassadeur américain Williams a été rejoint par la population du Niger ministre et le gouverneur de la région de Niamey, au lancement du programme international de l’alimentation de secours de partenariat.
Si la plupart des programmes d’aide alimentaire concentrer les activités dans les zones rurales, l’International Food secours partenariat mettra l’accent sur ​​la pauvreté urbaine. Également unique à ce programme est la participation de deux organisations non gouvernementales – l’Assemblée populaire nationale Blind Union et Handicap Niger – service et dirigées par des personnes handicapées.

«Cette initiative est un autre exemple de la façon de contrepartie travaille avec les communautés à surmonter les obstacles auxquels font face les plus défavorisés», explique Joan Parker, président et chef de la direction de contrepartie. «Ces enfants vont rester à l’école, à vivre plus sainement et de contribuer à leur collectivité, quelle que soit leur handicap. »

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