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vendredi 9 mars 2012

Malgré la situation sécuritaire très instable qui prévaut dans la région (aux frontières des zones tribales), MSF travaille au sein de l’hôpital du district d’Hangu depuis mai 2010.

Bordeaux le 09/03/2012 (OMD 2015)

Le programme MSF à Hangu.

Malgré la situation sécuritaire très instable qui prévaut dans la région (aux frontières des zones tribales), MSF travaille au sein de l’hôpital du district d’Hangu depuis mai 2010.
En 2011, MSF a fourni des soins médicaux à plus de 20 088 patients dans le service des urgences et a mené 955 opérations chirurgicales d’urgence dans le bloc de l’hôpital. Tout au long de l’année MSF a référé plus de 452 patients nécessitant des soins chirurgicaux et médicaux spécialisés sur Peshawar. Et, durant la saison des pluies – de juillet à octobre, MSF a traité 1 526 personnes souffrant de diarrhée aqueuse aiguë. Un plan de préparation à l’arrivée massive de blessés a également été mis en place à l’hôpital afin de pouvoir rapidement répondre à toute urgence éventuelle et de fournir des soins médicaux vitaux à des victimes d’explosions, d’affrontement ou autres cas.

samedi 3 mars 2012

Contexte du secteur sanitaire au Bénin

Bordeaux le 03/03/2012 (OMD 2015) - Le secteur de la santé au Bénin fait face à plusieurs difficultés, parmi lesquelles une qualité de soins déficiente, une offre de services sanitaires insuffisante, un manque de ressources humaines qualifiées, un financement des soins qui pèse sur les ménages, et une mauvaise organisation des communautés dans leurs revendications en matière de santé

Journée internationale de la femme : ouvrir des perspectives aux fillettes

Bordeaux le 03/03/2012 (OMD 2015) - La santé des femmes et des filles revêt une importance cruciale pour le Conseil international des infirmières. Deux des objectifs du Millénaire pour le développement concernent directement les femmes : promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes (objectif no 3) et améliorer la santé maternelle (objectif no 5)

jeudi 1 mars 2012

Bénin - Partenariat pour contribuer à l'accélération du progrès équitable vers les OMD 4 et 5

Bordeaux le 01/03/2012 (OMD 2015) - La France a réaffirmé son engagement pour la santé des enfants et la promotion des droits des femmes dans le monde lors de la réunion du G8 à Muskoka (Canada, 25-26 juin  2010). Le Président de la République française s’est engagé à consacrer un Fonds de Solidarité Prioritaire (FSP) d’un montant 500.000.000 euros supplémentaires sur cinq ans

Médecins du monde présente la campagne : votez sante – Le meilleur système de santé au monde ? 2012 : Le système de santé est malade et ce sont les personnes précaires qui en souffrent le plus.

Bordeaux le 01/03/2012 (OMD 2015) - Le système de santé français, longtemps présenté comme “le meilleur au monde” est malade et ce sont les personnes précaires qui en souffrent le plus.
Les équipes de Médecins du Monde rencontrent au quotidien des populations contraintes de choisir entre se soigner et assurer d’autres besoins essentiels. Des personnes pour qui la santé est devenue un produit de luxe. Restes à charge, franchises, obstacles financiers et administratifs aux soins pénalisent les plus pauvres.
Au-delà de la mise à mal du système de santé solidaire, les politiques répressives menées ne répondent pas aux enjeux de santé publique, entrainent ruptures de soins et risques sanitaires accrus. Les plus précaires subissent un harcèlement qui les rend moins visibles et plus éloignés de la prévention et des soins.
Les équipes de MdM ne peuvent parfois plus assurer la continuité des soins (arrêt des vaccinations en phase d’épidémie, perdus de vue suite à une expulsion…)
Face à cette détresse sanitaire, MdM prescrit un traitement d’urgence aux candidats aux élections présidentielles et législatives.
À eux de s’engager à le suivre.

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mercredi 29 février 2012

En Angola, Ban Ki-moon participe au lancement d'une campagne contre la polio

Bordeaux le 29/02/2012 (OMD 2015) - En visite en Angola, le Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon a donné lundi le coup d'envoi d'une campagne nationale de vaccination pour éradiquer la polio. Cette maladie avait pourtant été éradiquée en 2001, mais elle est réapparue depuis.

lundi 27 février 2012

Bénin: élimination de toutes nouvelles infections au VIH chez les enfants pour 2015

Bordeaux le 27/02/2012 (OMD 2015) - Le gouvernement du Bénin, en collaboration avec l’ONUSIDA, l’UNICEF, l’OMS et le FNUAP, a lancé la semaine dernière un programme national visant à éliminer les nouvelles infections au VIH chez les enfants et à améliorer l’état de santé de leurs mères

mercredi 15 février 2012

Burkina faso - Santé de la reproduction, 20 milliards pour améliorer les services

Bordeaux le 15/02/2012 (OMD 2015) - Financement de 41,6 millions de dollars US soit plus de 20 milliards de francs CFA au Burkina Faso pour accroître la qualité des services de santé de la reproduction au profit des populations.

jeudi 9 février 2012

Coopération Mali – Etats-Unis d’Amérique : Plus de recherche et d’innovation au service de la santé grâce à la GHI

Bordeaux le 09/02/2012 (OMD 2015) - Pour ce qui concerne le  Mali, il s’agit de la santé maternelle et la lutte contre la mortalité maternelle; de la santé de la reproduction et du repositionnement de la planification familiale; de la lutte contre le VIH/SIDA, le paludisme et la tuberculose

mardi 7 février 2012

Santé-Mali: De grands défis restent à relever

Bordeaux le 07/02/2012 (OMD 2015) - Ce constat pertinent ne doit pas oblitérer les progrès enregistrés par le Mali dans le domaine de l’accès aux soins de qualité et d’amélioration de l’offre de services, mais il met plus que jamais l’accent sur l’un des obstacles majeurs aux avancées dans de nombreux domaines dans notre pays 

jeudi 2 février 2012

Irin news - TCHAD: Pourquoi est-il si difficile d’éradiquer la polio ?

Bordeaux le 02/02/2012 ( OMD 2015) - La qualité médiocre des campagnes de vaccination d’urgence et la faible couverture de la vaccination systématique ont permis au virus de la poliomyélite de se propager au Tchad, où 132 cas ont été signalés en 2011 – soit cinq fois plus qu’en 2010. Selon les agences humanitaires, toutes les parties, et particulièrement les autorités locales, doivent renouveler leur engagement pour assurer des campagnes de vaccination efficaces.

L’épidémie qui touche actuellement le Tchad a débuté en 2007, le pays est donc classé comme « une zone de transmission re-établie » selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La polio est endémique au Nigéria, au Pakistan, en Inde et en Afghanistan – en d’autres mots, la transmission de la maladie n’a jamais été interrompue dans ces pays.

Si la faible couverture vaccinale systématique est due au mauvais fonctionnement du système de santé, « la principale raison [de la flambée] reste opérationnelle », a dit Oliver Rosenbauer, porte-parole de l'Initiative mondiale pour l'éradication de la poliomyélite de l’OMS à Genève. « Elle n’a rien à voir avec l’insécurité ou le manque d’infrastructures … La réponse à l’épidémie n’a pas été suffisante pour y [l’épidémie] mettre fin … Beaucoup trop d’enfants continuent d’échapper à la vaccination ».

Pourquoi des enfants échappent à la vaccination

Les vaccinateurs ont du mal à atteindre tous les enfants à vacciner pour différentes raisons : dans certains cas, le personnel ou les bénévoles du gouvernement et des agences ont mal cartographié les zones où les enfants vivent ou ils ont commandé trop peu de vaccins ou trop peu d’accumulateurs de froid pour pouvoir couvrir chaque district, a indiqué l’OMS. Souvent, les communautés ne sont pas sensibilisées correctement et à temps, si bien que les familles sont réticentes à amener leurs enfants ; certaines familles s’opposent à la vaccination pour des motifs religieux, ou elles ne savent tout simplement pas qu’elles peuvent faire vacciner un enfant même si il ou elle est malade, a dit Irina Dincu, spécialiste de la communication pour le développement de l’OMS et de l’UNICEF en Afrique de l’Ouest.

L’erreur humaine joue également un rôle, a ajouté Mme Dincu, expliquant qu’un vaccinateur mal formé peut décider de faire une pause en route et ainsi briser la chaîne du froid, ou une équipe peut oublier quelques maisons dans un village.

Une épidémie du virus de la polio ne se propagerait pas autant si la couverture vaccinale systématique était plus efficace, a dit M. Rosenbauer. Les vaccinations contre la polio doivent être effectuées avec rigueur : les vaccinateurs doivent se déplacer de maison en maison et administrer quatre doses à chaque enfant sur une période de six à 12 mois, atteignant ainsi 90 pour cent de tous les enfants pour éradiquer la polio, selon l’OMS.

Selon les estimations, les taux de couverture s’élèvent à 60 pour cent au plus au Tchad, notamment en raison de la qualité médiocre du système de santé : seulement 30 pour cent des cliniques de santé du pays sont opérationnelles ; l’accès aux soins de santé est faible et les stratégies de vaccination systématiques sont mal planifiées.

L’approche de la marraine

Afin de garantir qu’un maximum d’enfants soient vaccinés, les vaccinateurs doivent faire une meilleure utilisation des « données sociales » pour comprendre pourquoi et où une campagne ne fonctionne, indique Mme Dincu. Auparavant, les agences avaient une approche purement médicale de la vaccination contre la polio, mais cela n’est plus le cas aujourd’hui. « Les campagnes de vaccination ne sont pas seulement une intervention médicale. Les campagnes doivent être abordées sous un angle médical, politique et sociétal », a dit M. Rosenbauer.

Les données sociales ont été utilisées de manière créative en Inde et au Nigeria afin d’aider les vaccinateurs à atteindre davantage d’enfants, selon l’UNICEF. Dans l’État de Kebbi, au Nigeria, chaque foyer s’est vu assigner une « marraine » qui venait régulièrement avant la vaccination pour parler de la maladie et expliquer pourquoi la vaccination est importante. En étudiant les données après la vaccination afin de trouver les enfants qui n’avaient pas été vaccinés, les « marraines » étaient capables de les identifier par leur adresse, leur nom et leur âge, et de les retrouver plus facilement.

Ces approches pourraient être mises en œuvre au Tchad, disent les practiciens, car en dépit de la faiblesse du système de santé, la polio ne devrait pas être si difficile à contrôler, dit M. Rosenbauer. « Nous n’avons pas à faire à une population aussi importante que celle du Nigeria, ou à l’insécurité qui affecte l’Afghanistan et le Soudan. Ici, il s’agit davantage d’une question de volonté politique et sociétale ».

Selon lui, la polio pourrait être éradiquée en six mois si le gouvernement s’y engageait à tous les niveaux.

L’engagement du gouvernement

Au niveau international, davantage d’efforts sont réalisés pour éradiquer la polio : les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont établi un centre d’opération d’urgence basé en Afrique et chargé de s’attaquer aux crises de santé publique, y compris la polio.

En attendant, l’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite – à laquelle participent l’OMS, l’UNICEF, les CDC, la Fondation Bill & Melinda Gates et la Fondation Rotary – a déclaré l’achèvement de l’éradication du poliovirus « urgence programmatique pour la santé publique mondiale ».

Le gouvernement tchadien semble prendre la polio au sérieux : le président Idriss Déby a souligné l’importance de la lutte contre la polio, et lancé le plan d’action d’urgence de six mois pour l’éradication de la polio (celui-ci sera renouvelé pour une nouvelle période de six mois). Il ciblera les régions à haut risque et analysera ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.

Cependant, l’engagement au niveau des districts et des sous-districts est faible, selon le personnel d’une agence humanitaire. Les autorités nationales doivent tenir le personnel « sous-national » responsable de ses performances, a dit M. Rosenbauer. « Le virus ne suit pas les limites des districts, il faut donc un haut degré d’engagement dans chaque district », a-t-il dit à IRIN.

Les journalistes d’IRIN n’ont pas réussi à joindre des membres du ministère de la Santé.

Sans un engagement du gouvernement au niveau local, les efforts d’éradication échoueront, dit M. Rosenbauer. Le nombre de cas signalés au Nigeria est passé de 21 à 57 entre 2010 et 2011, notamment parce que les autorités locales se sont concentrées sur les élections présidentielles ; les violences électorales ont retardé les efforts pour éradiquer les 36 cas signalés en Côte d’Ivoire en 2011.

Et tant que la polio ne sera pas éradiquée au Nigeria et au Tchad, tous les pays d’Afrique de l’Ouest seront exposés à un risque élevé, selon l’OMS. « On note des lacunes en matière de vaccination dans de nombreux pays – la maladie peut frapper dans les régions les plus inattendues … c’est pour ça que c’est une maladie dangereuse ». 

mardi 31 janvier 2012

CÔTE D'IVOIRE: Le gouvernement abandonne la gratuité des soins de santé pour tous

Bordeaux le 31/01/2012 (OMD 2015) - La Côte d'Ivoire est en train de mettre fin à la politique de gratuité des soins de santé récemment instaurée, en raison de la montée en flèche des coûts.

« En neuf mois, le gouvernement a dû débourser 30 milliards de francs CFA [environ 60 millions de dollars] dans des conditions difficiles », a dit Mme N'dri Yoman, la ministre ivoirienne de la Santé, à Abidjan le 24 janvier.

À partir de février, seules les mères et leurs enfants devraient bénéficier de la gratuité des soins. Cela veut dire que les accouchements et le traitement des pathologies affectant les enfants jusqu'à l'âge de six ans seront pris en charge gratuitement. Le tarif des consultations devrait passer de 1 000 francs CFA à 650 francs CFA (de 2 dollars à 1,5 dollars).

lundi 30 janvier 2012

RDC - 85% des malades du SIDA privés de traitement

Bordeaux le 30/01/2012 (OMD2015) - 85% des malades du SIDA privés de traitement en RDC

Médecins Sans Frontières (MSF) s’alarme de la situation des personnes vivant avec le VIH/SIDA en République démocratique du Congo (RDC) et déplore le manque de priorités données par les autorités congolaises, ainsi que le désengagement des bailleurs de fonds, alors que le Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la Tuberculose et le Paludisme fêtera ses 10 ans d’existence ce 28 janvier.

Les conditions d’accès aux soins des personnes vivant avec le VIH/SIDA en RDC sont catastrophiques. Au Centre Hospitalier de Kabinda (CHK) à Kinshasa, MSF voit arriver un nombre bien trop élevé de malades avec des complications graves, dues à l’absence de traitement, et dont la condition trop avancée entraîne des souffrances inacceptables.
« J’ai travaillé dans de nombreux pays d’Afrique centrale et australe auprès de patients séropositifs, mais ce que je vois ici en RDC n’existe plus ailleurs depuis plusieurs années », affirme Anja De Weggheleire, coordinatrice médicale de MSF en RDC. « La situation de la RDC me rappelle l’époque à laquelle aucun traitement ARV n’était encore disponible. Nos médecins sont confrontés quotidiennement à de graves complications qui seraient facilement évitables avec une mise sous ARV précoce des patients ».

On estime actuellement à plus d’un million le nombre de séropositifs en RDC et à 350 000 le nombre de personnes qui devraient bénéficier d’un traitement antirétroviral. Or seuls 44 000 patients sont effectivement sous traitement. Cela représente un taux de couverture en antirétroviraux (ARV) de moins de 15%, soit l’un des plus bas au monde (tout comme la Somalie et le Soudan pour le continent africain). La situation est critique également en terme de prévention de la transmission du VIH de la mère à l’enfant
(PTME) : seul 1% des femmes enceintes estimées séropositives a accès aux traitements PTME. Or sans traitement, environ un tiers des enfants exposés naît avec le VIH.

En dépit de ces indicateurs catastrophiques, la RDC ne bénéficie pas du degré de priorité qui devrait être le sien auprès des bailleurs de fonds. Pire encore, certains se retirent ou diminuent sensiblement leurs subventions, comme le Fonds Mondial. En effet, alors que ce dernier est le principal pourvoyeur d’ARV en RDC, les Etats qui le financent n’ont pas tenu leurs promesses, obligeant l’institution à revoir ses ambitions à la baisse.
Or le désengagement des bailleurs met directement en danger la vie de milliers de personnes en RDC. Anja De Weggheleire tire la sonnette d’alarme : « si rien n’est fait, il est fort probable que les 15 000 personnes inscrites actuellement sur une liste d’attente et identifiées comme personnes ayant besoin d’ARV de manière urgente seront mortes d’ici trois ans. Et ce chiffre, aussi effrayant soit-il, ne représente que le haut de l’iceberg quand on sait que la plupart des personnes vivant avec le VIH/SIDA en RDC ne connaissent pas leur statut sérologique. Beaucoup mourront dans le silence et dans l’oubli.»
Il est crucial que les autorités congolaises respectent l’engagement qu’elles ont pris pour assurer gratuitement les services de prévention et de prise en charge des personnes vivant avec le VIH/SIDA. Il est tout aussi urgent que les bailleurs de fonds mobilisent d’urgence des moyens nécessaires afin d’assurer que les patients en attente d’ARV ne soient pas condamnés.
MSF est présente depuis plus de 30 ans en RDC et y mène des programmes contre le VIH/SIDA depuis 1996.

MSF a notamment été la première organisation à mettre des patients gratuitement sous ARV en RDC, en octobre 2003. Par ses programmes d’appui aux soins de santé et à travers son projet SIDA à Kinshasa, MSF prend plus de 5 000 patients en charge dans 6 provinces, soit plus de 10% du nombre de personnes mises sous ARV en RDC. A Kinshasa, MSF prend en charge 20% du nombre total de patients actuellement sous ARV dans la capitale congolaise.
MSF lance ce jour une campagne de communication et de plaidoyer qui s’étalera sur toute l’année 2012 afin d’alerter l’opinion publique sur la situation gravissime des personnes vivant avec le VIH/SIDA en RDC et d’inciter les acteurs à se mobiliser pour étendre la couverture ARV.

Relations Presse :
Barbara REHBINDER : +243 81 95 00 375
Patient LIGODI : +243 81 95 01 782
Courriel: msfocb-kinshasa-com@brussels.msf.org

mardi 24 janvier 2012

Protéger les bébés contre le VIH/sida

Bordeaux le 24/01/2012 (OMD 2015) - Presque à chaque minute, un bébé naît en étant porteur du virus du sida. Sans traitement, 50% de ces nourrissons meurent avant leur deuxième année. L’UNICEF met tout en œuvre pour que les bébés du monde entier bénéficient des prestations

lundi 23 janvier 2012

La stratégie mondiale du secteur de la santé sur le VIH/sida 2011-2015

Bordeaux le 23/01/2012 (OMD 2015) - Cette publication de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) décrit la nouvelle stratégie mondiale du secteur de la santé dans la lutte contre le VIH, avec comme objectif l’instauration d’un accès universel aux services de prévention, de diagnostic, de traitement, de soins et de soutien.

jeudi 19 janvier 2012

samedi 7 janvier 2012

Mali - Ministère de la Santé : PLUS DE 500 NOUVEAUX AGENTS DEPLOYES SUR LE TERRAIN

Bordeaux le 07/01/2012 (OMD 2015) - Les recrues, en majorité des sages-femmes et des infirmières obstétriciennes, participeront à la lutte contre la mortalité maternelle et néonatale. L’Etat a procédé à un recrutement massif de plus de 500 agents

lundi 2 janvier 2012

Sénégal - SENEGAL-MESSAGE-SANTE Le réseau des structures sanitaires s’est densifié

Bordeaux le 02/01/2012 (OMD 2015) - Au cours de la décennie écoulée, nous avons densifié le réseau des infrastructures sanitaires en portant le nombre des hôpitaux de 17 à 35, celui des centres de santé de 58 à 76, alors que le nombre de postes de santé est passé de 817 à 1.245’

jeudi 22 décembre 2011

Tanzanie: La Banque mondiale finance l'amélioration des services de santé

Bordeaux le 22/12/2011 (OMD 2015) - La Banque mondiale a approuvé un financement de 100 millions de dollars pour le Projet national des services de santé de base de la Tanzanie, qui devrait permettre à au moins huit millions de personnes d'avoir accès à de meilleurs services de santé d'ici à 2015.

mercredi 21 décembre 2011

Vietnam - Résultats d'une enquête à indicateurs multiples sur les femmes et enfants

Bordeaux le 21/12/2011 (OMD 2015 -  Les résultats de l'enquête à indicateurs multiples 2010-2011 (MICS4) ont été rendus publics le 16 décembre par le Département général des statistiques, en collaboration avec le Fonds des nations unies pour l'enfance (UNICEF) et le Fonds des Nations unies pour la démographie (UNFPA)