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mardi 13 mars 2012

Kenya - faire partciper les habitants des quartiers informels à la gestion de l'eau

Bordeaux le 13/03/2012 (OMD 2015) - Début des années 2000 : la grande agglomération de Kisumu, troisième ville du Kenya, souffre de faibles performances quand à la distribution d’eau, et les pénuries sont nombreuses à cause de la forte pression démographique, l’une des plus élevées du continent africain. Toutefois, ce pays en « stress hydrique » a décidé d’augmenter la desserte en eau potable dans les régions urbaines de 2 % par an depuis une loi sur l’eau en 2002.

Rapport 2012 sur les progrès en matière d’assainissement et d’alimentation en eau

Bordeaux le 13/03/2012 (OMD 2015) - En 20 ans, le nombre de personnes ayant accès à l’eau potable a progressé de plus de deux milliards, dépassant l'objectif fixé dans le cadre des objectifs du Millénaire pour le développement. 

Les femmes Lambas gagnent la bataille de l'eau à Makwacha en République démocratique du Congo

Bordeaux le 13/03/2012 (OMD 2015) - Si la cible des Objectifs du Millénaire pour le Développement des Nations-Unies, qui consistait à réduire de moitié le pourcentage de la population n'ayant pas accès à l'eau potable, devrait être atteinte avant 2015, l'accès à une eau salubre demeure pour beaucoup de zones rurales en Afrique telles que Makwacha un enjeu primordial

En RDC, la moitié des habitants n'a pas accès à l'eau potable

Bordeaux le 13/03/2012 (OMD 2015) - 47% seulement des 60.000 millions des Congolais ont accès à des sources de l'eau potable, dont 83% en milieu urbain et 16% en milieu rural. Cette information a été livrée hier à la presse par le responsable d'hygiène et assainissement de l'UNICEF

Les ressources mondiales en eau menacées, selon un rapport de l'ONU

Bordeaux le 13/03/2012 (OMD 2015) - La croissance sans précédent de la demande menace tous les objectifs majeurs de développement, met en garde le Rapport mondial des Nations Unies sur l'évaluation des ressources en eau, « Gérer l'eau dans des conditions d'incertitude et de risque »

L’eau n’est pas une marchandise, c’est le bien commun de l’Humanité et du Vivant

Bordeaux le 13/03/2012 (OMD 2015) - Le Forum mondial de l’eau à Marseille - Plus de 300 représentants de la société civile du monde entier rendent publique la déclaration finale des journées « Eau, planète et peuples », organisées les 9 et 10 mars par France Libertés – Fondation Danielle Mitterrand et le CRID, dans le cadre du Forum alternatif mondial de l’eau (FAME), en partenariat avec la Coalition eau et l’Effet papillon.

« L’eau n’est pas une marchandise, c’est le bien commun de l’Humanité et du Vivant » est le message fort de ces journées citoyennes qui proposent des solutions concrètes et participatives pour une mise en œuvre effective du droit à l’eau et à l’assainissement, dans un souci de démocratie, de respect des écosystèmes et de viabilité.
Les responsables politiques et économiques, acteurs du Forum mondial de l’eau, seront interpellés sur 17 propositions, qu’il s’agisse de la mise en place de mécanismes juridiques
indépendants en capacité de juger les crimes contre le droit à l’eau, de l’interdiction de la marchandisation de l’eau, de la nécessité de la prise en charge du coût du service de l’eau
dans le cadre d’une gestion publique et démocratique, de l’accès de tou-te-s aux technologies liées à l’eau qui doivent être libres de droits de propriété intellectuelle, de l’interdiction de
l’exploitation des gaz et huiles de schiste, pour ne citer que quelques-unes de ces propositions.
Affirmant que le Conseil mondial de l’eau n’a pas la légitimité pour élaborer une politique mondiale de l’eau, les représentants de plus de 170 organisations de la société civile des 5
continents, ont ouvert par cette déclaration les activités qui se dérouleront toute la semaine dans le cadre du Forum alternatif mondial de l’eau, notamment aux Docks des Sud à Marseille
et jusqu’à la manifestation prévue samedi 17 mars.

Extrait du Communiqué de presse

Nous constatons un déficit majeur d’organisation participative, transparente et démocratique globale pour l’eau. Ce déficit est doublé d’une absence de contrôle et de réglementation de son utilisation par manque de moyens ou de volonté politique. Trop d’acteurs d’un service public qui doit être accessible à tous, abandonnent leurs prérogatives et leurs responsabilités essentielles en livrant l’eau au marché de tous
secteurs d’activités. Des financiers spéculent sur le bien commun, dégageant des profits indus, allant parfois jusqu’à corrompre les acteurs impliqués. La recherche de ce profit imposée par le modèle capitaliste de marché mondialisé interdit le droit effectif et universel à l’eau pour tous, notamment pour les populations les plus pauvres et dans les régions les plus isolées.
Nous devons imaginer de nouveaux modèles de sociétés protecteurs de l’eau bien commun et respectueux des équilibres de la nature faisant la promotion de solutions soutenables et innovantes alliant connaissances anciennes préservées et techniques modernes. La protection et la régénération de l’eau et de la nature pour les générations futures exigent la prise en compte de l’intérêt général et du temps long.

PRINCIPES

> Nous affirmons que l’eau n’est pas une marchandise. De nombreux peuples sur la terre ll reconnaissent comme sacrée. C’est un bien commun du vivant !
> Nous affirmons le droit à l’eau et à l’assainissement pour tous comme un droit humain fondamental. Chaque Etat porte la responsabilité de garantir l’application de ce droit sur son
territoire en toute transparence en lien avec les territoires transfrontaliers.
> Nous affirmons que l’information, la participation effective des peuples et des citoyen-ne-s et la consultation publique contraignante concernant l’eau et l’assainissement doivent être obligatoire et effectif. Ils doivent être protégés des intérêts financiers et économiques.
> Nous affirmons le droit des peuples aux technologies accessibles, durables, équitables et qui respecte les connaissances traditionnelles et culturelles basées sur des bonnes pratiques de
protection de l’eau.
> Nous affirmons qu’en raison de leur rôle prépondérant dans l’approvisionnement et la gestion de l’eau, les femmes doivent être associées à toutes les décisions relatives à la gestion des ressources en eau à tous les niveaux local, national et international.
> Nous affirmons que les équilibres nécessaires doivent être promus pour la bonne gestion de l’eau entre les activités humaines et le respect de l’eau, des écosystèmes et de la nature.
>Nous affirmons la nécessité de construire de justes transitions énergétiques et des transformations sociales, économiques et politiques de nos sociétés. Nous affirmons la nécessité de changer notre façon de vivre sur la planète.

6ème World Water Forum, organisé par le Conseil Mondial de l’eau à Marseille

Bordeaux le 13/03/2012 (OMD 2015) - 6ème World Water Forum, organisé par le Conseil Mondial de l’eau à Marseille, l’association SWISSAID Genève et ses partenaires invitent le public romand à débattre avec des représentants d’institutions et organisations locales et internationales, privées et publiques, sur les enjeux autour de l’accès à l’eau et sa gestion. Les 20 et 21 mars à l’Université de Genève, Uni Mail. En savoir plus.
 
Le droit à une eau potable salubre et propre est un droit fondamental, essentiel au plein exercice du droit à la vie et de tous les droits de l’homme. ONU (A/RES/64/292).

samedi 10 mars 2012

Les six défis de l’accès à l’eau d’ici 2025

Bordeaux le 10/03/2012 (OMD 2015) - Comment faire accéder 2,4 milliards de personnes à l'eau alors qu'elles en sont privées? Quelles politiques pour faire face à l'augmentation prévue de la consommation domestique, agricole et industrielle d'eau à l'horizon 2025